Afrique sauvage

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L'Afrique est un continent immense, le plus ffand-apres l'Asie. Et elle a su préserver son patrimoine jaaturelen m^-tenant pratiquement intacts de vastes ter|-i^sfcélatit une biodiversité animale et végétale encisçe en attenta
d'études spécialisées et d'inscriptions au sein de classements_
scientifiques officiels. Mais ce qui perdure aujourd'hui n'est qu'un pâle reflet de ce que purent admirer l^^ploraMK des XIX' et XX'siecles, a l'instar d'Henry M^^JOttä^ß j de David Livingstone, partis a la découverte de^üSSHfient '
L'Afrique apparaît comme une terre aux mJtipiS^MiSK tions humaines et naturelles. Si certains de WfetMbfat^ dévastés par la pauvreté, la guerre, les conflit?ήiau^BF disettes, d'autres possedent des villes mod^SjUgficmt d'un niveau de vie élevé et de technologies avanc^^tratui^ y est également contrastée, renfermant les vastes et les plus arides du monde (le SaharPHM^lahari), mais aussi des lacs immenses et des forets [pluviales recou-]... Tovább

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I.'l :

L'Afrique est un continent immense, le plus ffand-apres l'Asie. Et elle a su préserver son patrimoine jaaturelen m^-tenant pratiquement intacts de vastes ter|-i^sfcélatit une biodiversité animale et végétale encisçe en attenta
d'études spécialisées et d'inscriptions au sein de classements_
scientifiques officiels. Mais ce qui perdure aujourd'hui n'est qu'un pâle reflet de ce que purent admirer l^^ploraMK des XIX' et XX'siecles, a l'instar d'Henry M^^JOttä^ß j de David Livingstone, partis a la découverte de^üSSHfient '
L'Afrique apparaît comme une terre aux mJtipiS^MiSK tions humaines et naturelles. Si certains de WfetMbfat^ dévastés par la pauvreté, la guerre, les conflit?ήiau^BF disettes, d'autres possedent des villes mod^SjUgficmt d'un niveau de vie élevé et de technologies avanc^^tratui^ y est également contrastée, renfermant les vastes et les plus arides du monde (le SaharPHM^lahari), mais aussi des lacs immenses et des forets [pluviales recou-] vrant des bassins fluviaux dont les portées d'eau figurç^ parmi les plus importantes de la planete, a l'instar dfetelle du • fleuve Congo, dont l'inquiétante majesté fit une fofefiwpres-sion sur le jeune Joseph Conrad lorsqu'il le rem<5litaen 1890. Il l'utilisa comme archétype de l'inconscient malajMpB^ chef-d'ouvre Au Cour des ténebres. De noi^syx écii^jy^ furent subjugués par les paysages splendides^® rr^^P^ d'animaux, les horizons infinis et les nuits étoilé^|de Beaucoup attraperent ainsi le virus dSjAfgq^^^B l'Hemingway des Vertes Collines d'Afrique e^^^geyauj Kilimandjaro au Moravia des Promenades africamHms pal» de Karen Blixen et de sa Ferme africaine. De nos jours, des parcs et des réserves naturelles protegent des lieux appartenant au patrimoine natureUj^Mue»^ . culturel de l'humanité. Dans ce domaine égal^H|IOei®kî; semble etre le maître mot L'Afrique orienta^LnfliotJH ' possede des parcs tels que le Kruger, le TseiH^K^^Pr dotés de luxueuses loges, d'infrastructuresjounstig^^^ scientifiques de premier plan. Il en va de memç des gares créés_i autour des lacs couleur d'émeraude (Nakuru, Naiv^ha, '-. Bogoria, Baringo), au fond de la grande vallé^u Rift, longue ¦ dépression entaillant l'Afrique orientale du nprd au sud. En revanche, dans le centre et le nord-ou^ de l'Afrique, malgré des parcs tout aussi beaux, les infrasrfjjCéstotar, tiques font cruellement défaut, de meme qui les laboratoires scientifiques destinés a étudier la flore et la faune^enains de ces panes protegent les ultimes tranQ dSBt^j^geTT l'image du parc d'Odzala au Congo ouTce^S la CopéliT Gabon. Pour le moment, la situation est telle M^Ajesro^ teurs audacieux aux remarquables capacit^^gOU peuvent s'aventurer en ces lieux e^tic^s Vissza